Par Marc L., commerçant dans le Marais
Je ne suis pas du genre à courir après les révolutions numériques. J’ai une boutique de maroquinerie dans le Marais depuis plus de 12 ans. On y vend du beau, du durable, du fait-main. Et jusqu’à récemment, côté détaxe, je faisais comme tout le monde : je remplissais mes formulaires papier, j’imprimais, je tamponnais, je faisais la queue à La Poste pour envoyer les justificatifs. Et Pablo, l’interface de l’administration pour valider les bordereaux de détaxe, était devenu un “collègue” de galère… jusqu’au jour où j’ai décidé d’arrêter.
Pablo, ce collègue qu’on n’a pas choisi
Soyons clairs : Pablo n’est pas une personne. C’est une borne. Un logiciel. Un dispositif mis en place par les douanes pour valider les bordereaux de détaxe en sortie du territoire. Pour mes clients étrangers, c’était déjà assez flou. Mais pour moi, commerçant, c’était devenu un vrai poids.
Entre les erreurs de saisie, les bordereaux invalidés, les clients frustrés à l’aéroport et les relances qui tombaient de nulle part, j’en suis arrivé à un point où j’évitais presque de proposer la détaxe aux clients. Un comble ! Et puis, soyons honnêtes : en 2024, devoir imprimer trois exemplaires d’un document pour le glisser dans une enveloppe, c’est un peu anachronique.
La découverte de Skiptax
Un jour, une cliente coréenne — très connectée — me parle d’une appli qui lui permet de faire sa détaxe elle-même, en quelques clics. Je me renseigne, tombe sur Skiptax. 100% digital, sans papier, sans borne, sans friction. Je me dis : « Trop beau pour être vrai. »
Mais la curiosité l’emporte. Je contacte l’équipe. Ils m’expliquent leur fonctionnement : je n’ai rien à imprimer, rien à envoyer. Je scanne une facture, le client fait sa demande de détaxe sur l’appli, et c’est réglé. Pas besoin de comprendre les taux de TVA, pas besoin de Pablo. Et je garde toute ma marge, car Skiptax ne prend pas de commission sur mes ventes. J’essaie.
Le jour où j’ai arrêté Pablo
La première fois que j’ai utilisé Skiptax, j’ai ressenti un truc bizarre : un mélange de soulagement… et de méfiance. C’était trop simple. Mais ça a marché. Le client a validé sa détaxe via son smartphone, sans rien me redemander. Pas de paperasse. Pas de question à l’aéroport. Pas de mauvaise surprise.
Depuis ce jour, je n’ai plus jamais utilisé Pablo. Et honnêtement, je ne regrette rien. Ni les erreurs, ni les appels, ni les enveloppes kraft.
Pourquoi je continue
Aujourd’hui, je parle de Skiptax à tous mes collègues commerçants. Parce que la détaxe, c’est un vrai levier pour attirer et fidéliser une clientèle touristique. Mais si elle devient un fardeau, on finit par la négliger. Grâce à Skiptax, j’ai retrouvé le plaisir de proposer ce service — sans stress, sans friction.
Et surtout, j’ai gagné du temps. Du vrai temps. Celui que je peux enfin consacrer à mes clients, à mes produits… et non à courir après des bordereaux.
Un dernier mot ?
Si vous êtes commerçant et que vous en avez assez de Pablo, testez Skiptax. Vous verrez : on peut faire simple, rapide… et légal.